Le printemps des pollens

Avec de très belles journées sur le modèle d'hier, il va nous être plus facile de prolonger le débat. En ville, quand pointent les premiers rayons du Soleil, c'est la ruée, et ce, pas uniquement au marché du samedi matin.

De belles journées passées à humer l'air en paix du Musée Saint-Vic, à l'ombre d'un arbre, ou bien vers le moindre espace vert que notre ville offre en terme d'aménagement nature, à Virlay par exemple. Cela sans exclure la grande étendue verte entourant la Pyramide de la Cité de l'or. Scénario et improvisations vertes sont rendues assez géniales ici, reconnaissons-le ! Cette verdure met incontestablement de bonne humeur... Finalement, rien de mieux pour se sentir bien dans notre ville en sa savourant les biens-faits d'un environnement recherché, savourer de bons moments au contact de l'élément végétal et d'oublier pour quelques temps le minéral de la ville. D'ailleurs, c'est devenu un critère de qualité mais également d'attractivité que les municipalités s'emploient à cultiver allègrement.

Toutefois malgré les efforts actés, on ne peut pas dire que la "dimension" verte fasse vraiment partie du cahier des charges qui oriente la gestion de la cité, lequel manifestement, reste sommes toutes plutôt converti à un assemblage de constructions pour la culture. Il n'est qu'à se rapporter sciemment aux projets de début d'année présentés en même temps que les vœux de la ville, pour en être encore plus convaincu.

De fait, nous avons tout à gagner à voir le verdissement des rues, voire places Saint-Amandoises (pas uniquement Virlay) comme autant d'éléments vraiment utiles à la cité. D'autant que les végétaux , on le sait bien, ont de réelles compétences à détourner les pollutions, même les plus inoffensives.
Car en fait, malgré les efforts fournis ces dernières années, le cas des pollens au printemps, parviennent encore jusque dans le nez et la gorge de certains d'entre nous, proliférant une certaine toxicité. Autrement dit, les pollens pollués que nous respirons, voir absorbons via quelques gènes volants véhiculés par l'air que nous respirons.

Pour vous aider à entrevoir la possibilité d'un débat, j'ai ouvert ce sujet en me disant qu'il serait bon de partager un tel sujet en localisant nos paroles partagées à Saint-Amand et ses communes voisines.